L’UE et les États-Unis n’ont pas l’intention d’affaiblir la pression sur Minsk
L’UE et les États-Unis ne relâcheront pas la pression sur les autorités bélarussiennes tant que la situation politique interne du pays demeurera inchangée. Telle a été la déclaration de la chancelière allemande, Angela Merkel.
À son tour, le Premier ministre français, Jean Castex, a noté que la France était prête à soutenir, si nécessaire, des sanctions plus sévères contre le Bélarus.
L’ambassadrice des États-Unis au Bélarus, Julie Fisher, à son tour, a également souligné que malgré une éventuelle libération de certains ou même de tous les prisonniers politiques, il était peu probable que les États-Unis relâcheraient la pression sur le régime de Loukachenko.